Véritable petite pépite sortie au printemps 2001, « Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain » est une comédie romantique signée par le réalisateur Jean-Pierre Jeunet. C’est aussi l’un des plus gros succès cinématographique français auprès du public, nommé treize fois aux Césars et quatre fois aux Oscars ! En 2002, il obtient quatre Césars, dont celui du meilleur film et du meilleur réalisateur.
A l’occasion de ses 20 ans (déjà !), le film était projeté au Cinéma de la Plage le vendredi 16 juillet lors de la 74e édition du Festival de Cannes… trop tard d’un jour pour nos jeunes Étoiles !
Mais… Aujourd’hui dans la boîte des Étoiles, dix affiches cinéma du film mythique « Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain » dédicacées par le réalisateur Jean-Pierre Jeunet ! Un immense merci aussi à UGC-Distribution à l’initiative de ce très beau geste.
Accroche : « Amélie n’est pas une fille comme les autres. Elle a vu son poisson rouge disparaître sous ses yeux dans un bassin municipal, sa mère mourir sur le parvis de Notre-Dame et son père reporter toute son affection sur un nain de jardin.
Amélie grandit et devient serveuse à Montmartre dans un bar tenu par une ancienne danseuses équestre. La vie d’Amélie est simple, elle aime casser la croûte des crèmes brûlées, faire des ricochets au bord de la Seine, observer les gens et laisser son imagination divaguer.
A vingt-deux ans, coup de théâtre, Amélie se découvre un but : réparer la vie des autres. Elle invente alors toutes sortes de stratagèmes pour intervenir incognito dans l’existence de plusieurs personnes de son entourage. Parmi elles, il y a la concierge qui passe ses journées à siroter du porto en tête-à-tête avec un chien empaillé, Georgette, la buraliste hypocondriaque, ou “l’homme de verre”, son voisin qui ne vit qu’à travers une reproduction de Renoir.
La mission d’Amélie est brusquement perturbée par la rencontre d’un garçon étrange et décalé,Nino Quincampoix. Employé à mi-temps d’un train fantôme et d’un sex-shop, Nino collectionne les photos abandonnées autour des photomatons. Il cherche désespérément à identifier un inconnu dont la photo réapparaît sans cesse, lorsque son enquête est soudain perturbée par la rencontre d’Amélie.
Amélie est fascinée par Nino, mais elle préfère jouer à cache-cache avec lui, plutôt que de se découvrir vraiment. Après plusieurs tentatives, elle se défile. Heureusement, “l’homme de verre”, expert en repliement sur soi, lui rend la monnaie de sa pièce en la poussant dans les bras de Nino. »
Pour tout savoir sur ce long-métrage : Jean-Pierre Jeunet – site officiel